jeudi 14 septembre 2017

“Does it spark joy?”

I can’t help but bristle at the phrasing because the question “Does it spark joy?” may actually rob tidying up of its fullest potential in our lives. (becoming minimalist)



Becker suggère que la question de Marie Kondo "est-ce que ça m'apporte de la joie?" n'est pas la bonne question à se poser quand on désencombre, parce qu'elle peut laisser sous-entendre que la consommation d'objets de meilleure qualité par exemple, ou que le plaisir personnels devraient être au centre du processus... 

Son point de vue à lui est un peu plus engagé. Le thème sous-jacent de son oeuvre est d'arrêter de nous centrer uniquement sur notre bonheur, notre consommation, et de plutôt requestionner notre rapport individuel à la consommation, pour retrouver du sens dans l'engagement qu'on peut faire envers autrui, la communauté. 

Il fait la proposition que si on nous en laisse la chance, la plupart d'entre nous ne sommes pas juste intéressés par notre propre nombril, mais aurions envie de contribuer davantage à un monde meilleur. 

Il suggère donc de désencombrer en se posant la question "Est-ce que cet objet contribue à ce que ma vie ait un but plus noble?" ou "Est-ce que cet objet contribue au but le plus noble que je veux donner à ma vie?"... 

Tout au long de son livre, il suggère de donner aux bonnes œuvres, de se demander si d'autres que nous qui sont dans le besoin ne pourraient pas faire un meilleur usage de ce que nous avons tendance à garder "juste au cas"... 

Il encourage donc à la fois à se libérer des objets qui nous minent l'existence parce qu'ils nous coûtent cher en temps, énergie, argent et solutions de rangements (!) mais aussi qui peuvent servir à d'autres et nous rendre plus heureux dans le don qu'on peut en faire...


explication de Maryline, merci


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