mercredi 18 octobre 2017

Pour un tri efficace



Quelque soit la méthode, pour un tri efficace il faut se poser les bonnes questions :

Judith Crillen nous propose les questions suivantes =

Judith Crillen




Si vous répondez 
Non à une de ces questions, jetez l’intrus. Sinon, demandez-vous pourquoi vous avez du mal à vous débarrasser d’un objet moche et/ou inutile… Vous ne voyez finalement aucune raison de garder cet objet, jetez-le sans états d’âme. 

Dans le cas contraire, mettez-le de côté pour un futur désencombrement. Mais cette solution devrait être un dernier recours en cas de forte indécision, j’insiste. Inutile de tergiverser.


Joshua Becker de @Becoming minimalist suggère de désencombrer en se posant la question "Est-ce que cet objet contribue à ce que ma vie ait un but plus noble?" ou"Est-ce que cet objet contribue au but le plus noble que je veux donner à ma vie?"... 

Tout au long de son livre, il suggère de donner aux bonnes œuvres, de se demander si d'autres que nous qui sont dans le besoin ne pourraient pas faire un meilleur usage de ce que nous avons tendance à garder "juste au cas"... 

mardi 17 octobre 2017

7 PEUPLES MINIMALISTES

Le minimalisme est un art de vivre qui se veut résolument moderne alors même qu’il est un simple retour aux sources. Les humains vivaient relativement simplement jusqu’à récemment, et ce même dans les pays industrialisés. 

Rappelons-nous d’ailleurs que le minimalisme pour la plupart des Terriens n’est pas un art de vivre qui se cultive – découlant d’un choix raisonné et mû par des réflexions écologiques, économiques, éthiques, religieuses, etc. – c’est un mode de vie qui va de paire avec des ressources limitées et un accès moins « privilégié » que nous à la consommation. 

Zoom sur 7 peuples différents qui ont un mode de vie minimaliste.



Le Japon

Le Japon est un pays qui n’a jamais vraiment abandonné la simplicité et une esthétique marquée pour tout ce qui est épuré. Une philosophie zen proche du bouddhisme a conduit les Japonais à avoir des intérieurs avec peu de meubles, une décoration minimale, des couleurs neutres, etc. Que ce soit dans leurs foyers, leur comportement ou leur alimentation, ce peuple est familier d’une tradition relativement ascète.
Saturée par le fourmillement permanent de ce pays et sa modernité technologique parfois déroutante, une partie de la nouvelle génération a choisi de se réapproprier le minimalisme version extrême, faisant le choix de vivre dans un dénuement extrême. 
Le slogan originel « Less is more » se mue ici en « Less is less ».

Les nomades

De façon générale, les peuples nomades vivent avec le minimum vital. Ils ne possèdent que ce qui est nécessaire à leur survie et à un confort basique étant donné qu’ils sont amenés à lever le camp régulièrement, au gré des saisons et des besoins en nourriture et/ou en eau. Le fait de devoir déplacer son lieu de vie implique un rapport privilégié avec la nature et en phase avec les besoins essentiels. 

La Scandinavie

Les populations d’Europe du Nord ont un mode de vie plus sain et proche de la nature que le nôtre. Habitués des rigueurs du climat, ce qu’ils recherchent avant tout, c’est le côté fonctionnel de leur habitat. Par ailleurs, ils consomment des produits plus locaux et de saison, sont adeptes des vide-greniers et d’une plus grande simplicité dans leur mode de vie et ont une conscience écologique plus importantes que leurs concitoyens plus au sud

Les peuples des montagnes

Dans diverses contrées du monde soumises à des altitudes et des températures extrêmes, quelques peuples résistent et ont souvent des modes de vie au plus près des éléments naturels qui les entoure. Les sherpas, peuple évoluant surtout dans les hauteurs du majestueux Kilimandjaro et du Népal, sont très isolés et ont un habitat rudimentaire constitué d’un rez-de-chaussée dédié aux bêtes quand l’étage est réservé à la famille. De façon générale cette pièce unique regroupe toutes les fonctions (elle n’est pourvue ni de sanitaires ni d’eau courante) et est équipée du minimum.

L’Afrique subsaharienne

En Afrique Noire, de nombreux pays et ethnies vivent dans un dénuement extrême. Ici on vit de ce qu’on trouve, on se contente de ce qu’on a et – pour ceux qui ne subissent pas les affres des violences et guerre – on est heureux du peu qu’on a. C’est en écoutant ces peuples qui n’ont rien mais dont les cœurs semblent si riches qu’on ne peut qu’être que humbles face à nous-mêmes.

L’Amazonie et ses secrets

L’Amazonie accueille plus de peuples indigènes coupés de tout que n’importe quelle autre région de notre planète. Ces populations isolées sont préservées de tout contact avec le monde moderne laissant intacts leurs cultures, rites, coutumes, traditions et modes de vie. Le minimalisme s’impose comme une évidence et entourées de rien, ces ethnies se suffisent à elles-mêmes. Pour certains, les cabanes dans les arbres sont leur refuge contre les menaces terrestres, d’autres construisent des maisons sur pilotis ou vivent dans des huttes par exemple.

Nouvelle tendance en Australie

Les micro-appartements sont une tendance qui se confirme en Australie. Moins gourmands en terme d’espace, plus économiques, une organisation optimale et une plus grande performance énergétique sont autant d’atouts qui séduisent. Des habitats durables et mieux conçus qui font des émules parmi les architectes du monde entier.



extrait d'un article écrit par @Imane Magazine


vendredi 6 octobre 2017

JUSTE AU CAS OU

Souvent, on conserve les choses dont on aura besoin, « au cas où« .
On ne les abandonne pas car on se projette dans un futur potentiel qui n’existe pas où peut-être, il est possible qu’on en ait besoin. 

Julian
 @leminimalisme.fr/