mardi 19 décembre 2017

Marketing et générations

On sait tous que le marketing cible des groupes d'individus, que ce soit en terme d'innovation, de conception, ou de publicité.
On connait tous la génération du baby-boom : merci les profs d'histoire-géo du collège !

Mais on connait moins la suite...
Les "vendeurs" et m^me les économistes nous ont tous affublés d'étiquettes selon notre âge, selon notre génération. Pas une campagne de marketing ou de communication n’échappe à la déclinaison des générations X, Y et Z censées fonder le socle sociétal actuel.  

Et ça donne ceci :

Personnes nées entre 1946 et 1964 = génération baby-boomers Entre 1965 et 1979 = génération X Entre 1980 et 2000 = génération Y ou Millénials Entre 2001 et 2017 = génération Z


En tant que minimaliste, je m’interroge sur ce que peuvent bien cacher ses lettres X Y Z ?
Ce classement est utile en marketing et en sociologie mais est-ce que le mouvement minimaliste touche plus une génération qu'une autre ?



Les Baby-boomers = > 52 ans


Ils savent travailler dur, ils attendent une rémunération proportionnelle à leur effort et à leur contribution à l’aide donnée pour relever le pays, après la guerre.
Ils ont un esprit de compétition et veulent être appréciés pour leur expérience.

La Génération X 38-52 ans


Ils mettent la priorité sur leur carrière et recherchent avant tout un travail valorisant socialement.
Ils peuvent choisir de travailler à des horaires raisonnables pour des conditions de travail qui prennent en compte la vie familiale. Du point de vue professionnel, cette génération a rencontré des difficultés pour trouver un emploi pérenne et bien rémunéré.
Leur travail n’est donc plus le principal centre d‘intérêt dans leur vie ; ils travaillent pour vivre (bien-vivre ) et non l’inverse.
En 1973, les cracks boursier et pétrolier, ont mis fin au plein emploi, à l’insouciance.

Pour éviter de connaître le chômage, beaucoup préfèrent garder leur emploi, ils renoncent massivement à envisager une ré-orienter.
Les X veulent sortir de la roue statut-argent-ascension sociale qui caractérise l'existence moderne.

La Génération Y = 17-37 ans

Ils ont grandi avec les écrans d’ordinateurs, des consoles de jeux vidéo. Ils sont la première génération à être entièrement, et véritablement, né avec le monde d’internet.
Plus mobiles et moins attachées à un poste pérennisé, chez un même employeur, durant toute leur carrière.

Ils recherchent une bonne qualité de vie, quitte à changer de région voir de pays.
Très matérialistes, ils sont dans l’hyper consommation et s’ouvre au monde extérieur grâce aux nouvelles technologies de l’information.

C’est aussi la génération qui cède le plus facilement à l’impulsion d’achat.
Les Y ont également comme surnom « why » en anglais, ce qui signifie qu’ils ont tendance à poser beaucoup de questions et à remettre en cause les règles établies. Marquée par la crise, ils cherchent à comprendre plus qu’ils ne contestent.
Les " X " et les " Y " ont des attentes presque similaires en terme d'éthique et d'authenticité.



La Génération Z = < 17 ans


Elle est considérée comme la génération silencieuse. La technologie domine leur quotidien, ils sont nés avec et ne savent pas vivre sans. L’internet est leur outil principal de communication pour interagir que ce soit dans le privé ou le travail.
Cette génération est connectée en permanence.
Elle consomme plus l'information qu'elle ne l'analyse ou la critique. 
Beaucoup plus réaliste que leur prédécesseurs, pour eux la vie et le travail doivent être un processus fluide, qui apporte le bien-être au quotidien.
Tout n’est qu’attentats, crash boursier, emploi, lutte contre le terrorisme, problèmes écologiques : les Z seront-ils plus prévoyants, plus économes ?

La Génération Alpha

La première à entrer dans une nouvelle interface homme-machine.
à suivre...



CONCLUSION

Il est évident que l’être humain se construit en rapport étroit avec le monde qui l’entoure.  Ces influences, cet esprit du temps, ne manquent pas de façonner consciemment ou inconsciemment les individus. En ce sens la catégorisation générationnelle ne manque ni de pertinence ni de logique. 

Cependant, Le découpage X, Y et Z s’applique spécifiquement au modèle économico–sociétal occidental :  il serait illusoire de penser que les générations présentes les mêmes repères temporels et les mêmes caractéristiques d’un bout à l’autre de la planète.

Mais surtout, le concept de génération sous-estime probablement la capacité des individus à évoluer, à se remettre en question.

La génération Y me parait être un bon profil de minimaliste :  à la base hyper-consommateur et impulsif à l'achat,...... mais une facilité à se mettre en question, remettre en cause les usages établis, cherche à comprendre,........à la recherche d'une bonne qualité de vie...sensible à l'éthique et l'authenticité  .......

ajout : récemment je lis dans un article ceci 
"Cette semaine, je vous parle d’un antidote qui gagne en popularité au Québec et un peu partout en Occident : le minimalisme. Ce mode de vie, qui pourrait se résumer à posséder moins pour vivre plus, a la cote chez les milléniaux, en particulier, mais aussi chez les plus vieux. "  (www.lesoleil.com)
donc j'avais vu juste 😀


Moi, je suis de la génération X et je suis minimaliste dans l'âme depuis toute petite donc tout reste possible!



SOURCES : www.journalducm.com/
www.dynamique-mag.com/
lentreprise.lexpress.fr/fr.wikipedia.org/cladelcroix.mondoblog.org/tapbuy.io/fr/

mercredi 29 novembre 2017

Minimaliste sédentaire ou nomade ?


les hommes sont devenus sédentaires pour cultiver les terres mais c'était un véritable soulagement; la vie de nomade n'est pas très confortable et avoir un chez soi est beaucoup mieux, l'agriculture leur a permis enfin de pouvoir être sédentaire;

une maison  est une sécurité, elle permet de se préserver de la pluie, de la neige, du vent, des dangers.....etc...la maison fait partie des besoins primaires de l'homme;

les accumulateurs d'objets ont des peurs irrationnelles comme de manquer d'un DVD ou d'un vase...mais avoir peur de ne pas avoir de toit sur la tête n'est pas irrationnel, c'est un vrai besoin comme manger ou dormir

donc en tant que minimaliste je garde ma maison ( loué ou acheté) , elle m'est utile et m'apporte quelque chose de plus dans ma vie 


mardi 21 novembre 2017

passer de l'autre côté !

Samedi je me faisais une réflexion...j'avais l'impression d'être passé de l'autre coté. Maintenant les objets que j'enlève sont ceux que beaucoup auraient conservés, ceux que moi j'avais décidé de conserver mais qui sont désormais en trop.

Cette impression de faire enfin partie du cercle fermé des minimalistes plus extrêmes. Une envie d'aller plus loin, de savoir que l'on a franchi la limite et que le retour en arrière ne sera plus possible.

Ca c'était samedi...et il y a eu dimanche...
Dimanche, j'ai commencé le livre de Fumio Sasaki, L'essentiel et rien d'autre : L'art du minimalisme pour retrouver sa liberté d'être. Comme une claque qui me fit redescendre sur Terre,...Tout à coup, je trouvais encore plein de choses à désencombrer. De nouvelles limites s'offraient à moi. 

Fumio Sasaki

Je vous parlerai bientôt du livre de Fumio que j'adore déjà. Cette liste nous montre déjà comment aller plus loin. Des choses simples qu'il fallait peut-être que j'entende de quelqu’un d'autre.
Le 4 ma aussitôt fait pensé à ces verres encore neufs que je hardent je ne sais plus trop pourquoi. Le 6, me réconforte dans l'idée que j'avais déjà mais qui me semblait un peu folle. Le 7 me fait rire. Le 3 et le 15 me font envisager un après, qui n'est pas si loin.



mercredi 15 novembre 2017

Sommaire

Tous les articles :

Mon Minsgame


Définitions du minimalisme


Le jour où j'ai appris à vivre ( Laurent Gounelle)


Une leçon de sérénité et de calme, sans artifice


C'est quoi la slow life, le ZD, le minimalisme, le Homemade, le veganisme, hein ?




Eviter les achats compulsifs





Débutant Minimaliste ?


Que mettre dans sa valise minimaliste ?

Pourquoi est-ce si difficile de "jeter" ?

20 objets faciles à jeter !

Quand le Flow devient minimaliste...


Posséder Ou Vivre Des Expériences


J'arrête de surconsommer !


Les chaussettes ! !

Le papier VS le numérique !


Les souvenirs vivent plus longtemps que les choses

"comme on déménage, autant prendre plus grand! "

En quoi consiste réellement le minimalisme ?

“Does it spark joy?”

Les minimalistes sont-ils matérialistes ?

Avoir un coussin de sécurité ?


7 peuples minimalistes


"Random acts of Kidness" ou RAK ou "acte de gentillesse"


Minimaliste sédentaire ou nomade ?

Marketing et générations

Marie Kondo, un air de minimalisme ?

L'art du vide de Carolyn Hetzel

Les minimalistes cacheraient des choses sous leur tapis imaginaire

Bouilloire ou pas bouilloire ?

Cécile Ecot , Minimalisme, reprenez le contrôle


Du premier déclic à ma liste d'objets


"99 objets nécessaires et suffisants "de D. Loreau



"Vivre simplement" d' Elisabeth Simard (1)

"Vivre simplement" d' Elisabeth Simard (2)


"Vivre simplement" d' Elisabeth Simard (3)


"Vivre simplement" d' Elisabeth Simard (4)




Pourquoi devenir minimaliste ?










vendredi 10 novembre 2017

"Random acts of Kidness" ou RAK ou "acte de gentillesse"

Il n'y a pas si longtemps ( 1 an quand même 😊😉 ) je vous ai parlé d'un livre fabuleux : 

Le jour où j'ai appris à vivre de Laurent Gounelle


Le héros change sa vie morose en une vie pleine de sens; il aime faire plaisir aux gens, des inconnus...il offre par exemple un bouquet de fleurs à la première personne qui sortira du bus ! Il se rend compte que ces actes de gentillesse le rendent heureux.

....et devenir heureux, faire passer les expériences avant les objets, vivre en pleine conscience fait parti du minimalisme !






Et il n'est pas le seul !
On voit se développer un peu partout un mouvement appelé
"Random acts of Kindness" ou RAK : des personnes multiplient de jolis gestes comme envoyer une carte de façon anonyme, coller des mots doux sur la machine à café ou laisser un petit cadeau sur un banc dans un parc....

Pourquoi ?
Simplement pour rendre le monde meilleur et apporter un peu de joie à une personne. C'est un acte de bonté gratuite. 

Soyez gentil dès que possible et c'est possible à chaque instant - Le Dalaï-Lama

La blogueuse néerlandaire Marije Braakman évoque depuis plusieurs années déjà l'importance de ces actes de bonté gratuits; Elle est à l’initiative du "giving month of november"; Durant ce mois, les participants effectuent chaque jour une action bienveillante.

En France, nous avons le café suspendu. Quand vous commandez un café vous en payez deux : 1 pour vous et le 2ème soit pour un SDF soit pour la personne suivante. Ce principe vient d'Italie mais commence à se démocratiser en France;

Des groupes facbook comment à se développer autour de cette idée comme "Actes de gentillesse, partout, pour tous"  ; on n'en trouve beaucoup plus en anglais "random acts of kindness"; il y a aussi sur la même idée de don anonyme , pour les livres,  "chasseurs de livres" qui permet de déposer un livre dans un endroit public

Je voie aussi de plus en plus de minimalistes qui déposent dans un lieu public le tribu de leur désencombrement avec une pancarte " servez-vous" : cela aussi fait parti des " Random acts of Kindness "

Cet acte accroît l'amour dans le monde même si au départ on le fait pour se sentie bien soi-même. On entre dans une spirale positive . Quand on se sent bien, on est plus utile aux autres . 

Nancy Peeters, psychologue, organise chaque année le Day of giving : chaque participant déposent des cadeaux dans les lieux publics accompagné d'un mot mentionnant la page facebook : une boite de thé, une peluche, un livre...mais en bon minimaliste que vous êtes, vous vous dites que ces cadeaux vont vous encombrer si vous les trouvez ...il suffit de les donner à votre tour et l'objet devient une sorte de véhicule du bonheur .

Le truc c'est de transformer un acte de bonté ponctuel en quelque chose de régulier...on se crée ainsi des réserves de bonheur et de courage pour affronter les périodes difficiles .




article inspiré par le Flow, Anneke Bots



vendredi 3 novembre 2017

Désencombrer son sac à main 💼



La première étape consiste à le vider de son contenu.
Secouer ensuite le sac à main pour le vider de toute poussière… s’il n’est pas en cuir passez le à la machine… s’il est en cuir utilisez un produit assouplissant pour le cuir ou lavez-le avec un savon doux 🛀
Maintenant, vous allez pouvoir trier le contenu…
Jetez les cartes plastiques périmées, publicités, tickets de caisse, mouchoirs usagés (bahh!!) ....  🔋 💶 🔫 🍩... et rangez tout ce qui n’a pas sa place dans votre sac à main à sa place !
Réfléchissez sur ce que vous avez réellement besoin à chaque fois que vous sortez et replacez le dans le sac
Les objets qui ne vous servent pas à chaque fois mais pour certaines occasions quand même, trouvez leur une place à la maison , pratique, près de votre sac et/ou de la porte d'entrée...vous pourrez ainsi facilement les prendre quand ces sorties se présenteront
Par exemple, en général dans votre sac vous aurez un petit porte-carte avec carte de crédit, carte d'identité, carte vitale et peut-être une carte de bus ou votre permis de conduire... ou une autre utilisée très souvent
Vous aurez aussi un porte-monnaie, un paquet de mouchoirs, vos clefs...ou encore vos lunettes, des médicaments qu'il vous faut prendre absolument, un stylo...
Quand vous allez au cinéma vous rajouter la carte fidélité du ciné et les lunettes 3D , par exemple 🎬
Vous pouvez aussi avoir 2 sacs si votre travail vous oblige à emmener pas mal d'affaires ( dossier, parapluie, gourde, tablette...) , 1 pour le travail et 1 pour le loisir et vous pouvez mettre les éléments communs que vous ne pouvez pas dupliquer ( carte d'identité, clefs, …) dans une pochette qui passera facilement d'un sac à l'autre la semaine et le week-end
Une fois le tri réalisé, et les fréquences d'utilisation des objets restants définies, ce n'est plus qu'une histoire d'organisation personnelle 
Voici l'exemple de Maman minimaliste : http://www.mamanminimaliste.fr/comment-diminuer-le-contenu…/



mercredi 18 octobre 2017

Pour un tri efficace



Quelque soit la méthode, pour un tri efficace il faut se poser les bonnes questions :

Judith Crillen nous propose les questions suivantes =

Judith Crillen




Si vous répondez 
Non à une de ces questions, jetez l’intrus. Sinon, demandez-vous pourquoi vous avez du mal à vous débarrasser d’un objet moche et/ou inutile… Vous ne voyez finalement aucune raison de garder cet objet, jetez-le sans états d’âme. 

Dans le cas contraire, mettez-le de côté pour un futur désencombrement. Mais cette solution devrait être un dernier recours en cas de forte indécision, j’insiste. Inutile de tergiverser.


Joshua Becker de @Becoming minimalist suggère de désencombrer en se posant la question "Est-ce que cet objet contribue à ce que ma vie ait un but plus noble?" ou"Est-ce que cet objet contribue au but le plus noble que je veux donner à ma vie?"... 

Tout au long de son livre, il suggère de donner aux bonnes œuvres, de se demander si d'autres que nous qui sont dans le besoin ne pourraient pas faire un meilleur usage de ce que nous avons tendance à garder "juste au cas"... 

mardi 17 octobre 2017

7 PEUPLES MINIMALISTES

Le minimalisme est un art de vivre qui se veut résolument moderne alors même qu’il est un simple retour aux sources. Les humains vivaient relativement simplement jusqu’à récemment, et ce même dans les pays industrialisés. 

Rappelons-nous d’ailleurs que le minimalisme pour la plupart des Terriens n’est pas un art de vivre qui se cultive – découlant d’un choix raisonné et mû par des réflexions écologiques, économiques, éthiques, religieuses, etc. – c’est un mode de vie qui va de paire avec des ressources limitées et un accès moins « privilégié » que nous à la consommation. 

Zoom sur 7 peuples différents qui ont un mode de vie minimaliste.



Le Japon

Le Japon est un pays qui n’a jamais vraiment abandonné la simplicité et une esthétique marquée pour tout ce qui est épuré. Une philosophie zen proche du bouddhisme a conduit les Japonais à avoir des intérieurs avec peu de meubles, une décoration minimale, des couleurs neutres, etc. Que ce soit dans leurs foyers, leur comportement ou leur alimentation, ce peuple est familier d’une tradition relativement ascète.
Saturée par le fourmillement permanent de ce pays et sa modernité technologique parfois déroutante, une partie de la nouvelle génération a choisi de se réapproprier le minimalisme version extrême, faisant le choix de vivre dans un dénuement extrême. 
Le slogan originel « Less is more » se mue ici en « Less is less ».

Les nomades

De façon générale, les peuples nomades vivent avec le minimum vital. Ils ne possèdent que ce qui est nécessaire à leur survie et à un confort basique étant donné qu’ils sont amenés à lever le camp régulièrement, au gré des saisons et des besoins en nourriture et/ou en eau. Le fait de devoir déplacer son lieu de vie implique un rapport privilégié avec la nature et en phase avec les besoins essentiels. 

La Scandinavie

Les populations d’Europe du Nord ont un mode de vie plus sain et proche de la nature que le nôtre. Habitués des rigueurs du climat, ce qu’ils recherchent avant tout, c’est le côté fonctionnel de leur habitat. Par ailleurs, ils consomment des produits plus locaux et de saison, sont adeptes des vide-greniers et d’une plus grande simplicité dans leur mode de vie et ont une conscience écologique plus importantes que leurs concitoyens plus au sud

Les peuples des montagnes

Dans diverses contrées du monde soumises à des altitudes et des températures extrêmes, quelques peuples résistent et ont souvent des modes de vie au plus près des éléments naturels qui les entoure. Les sherpas, peuple évoluant surtout dans les hauteurs du majestueux Kilimandjaro et du Népal, sont très isolés et ont un habitat rudimentaire constitué d’un rez-de-chaussée dédié aux bêtes quand l’étage est réservé à la famille. De façon générale cette pièce unique regroupe toutes les fonctions (elle n’est pourvue ni de sanitaires ni d’eau courante) et est équipée du minimum.

L’Afrique subsaharienne

En Afrique Noire, de nombreux pays et ethnies vivent dans un dénuement extrême. Ici on vit de ce qu’on trouve, on se contente de ce qu’on a et – pour ceux qui ne subissent pas les affres des violences et guerre – on est heureux du peu qu’on a. C’est en écoutant ces peuples qui n’ont rien mais dont les cœurs semblent si riches qu’on ne peut qu’être que humbles face à nous-mêmes.

L’Amazonie et ses secrets

L’Amazonie accueille plus de peuples indigènes coupés de tout que n’importe quelle autre région de notre planète. Ces populations isolées sont préservées de tout contact avec le monde moderne laissant intacts leurs cultures, rites, coutumes, traditions et modes de vie. Le minimalisme s’impose comme une évidence et entourées de rien, ces ethnies se suffisent à elles-mêmes. Pour certains, les cabanes dans les arbres sont leur refuge contre les menaces terrestres, d’autres construisent des maisons sur pilotis ou vivent dans des huttes par exemple.

Nouvelle tendance en Australie

Les micro-appartements sont une tendance qui se confirme en Australie. Moins gourmands en terme d’espace, plus économiques, une organisation optimale et une plus grande performance énergétique sont autant d’atouts qui séduisent. Des habitats durables et mieux conçus qui font des émules parmi les architectes du monde entier.



extrait d'un article écrit par @Imane Magazine